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cecileb
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 ===== 1. Éléments biographiques ===== ===== 1. Éléments biographiques =====
  
-Jeannine Guichardet est née le 8 avril 1930 à Paris (XIVe arrondissement). Elle suit ses études au collège ​de Pantin à la Plaine ​Saint-Denis,​ collège dans lequel les langues anciennes ne sont pas enseignées (raison pour laquelle elle préparera l’agrégation de lettres modernes et non de lettres classiques). Dans ce collège, l’enseignante d’histoire Marguerite Drevon, à laquelle Jeannine Guichardet dédie sa thèse, la marque fortement et influencera ses recherches à venir sur les entrelacs de l’histoire et de la littérature. Elle étudie ensuite un an au lycée Jules Ferry en 1949-1950 pour préparer le concours d’entrée à l’École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud.+Jeannine Guichardet est née le 8 avril 1930 à Paris (XIVe arrondissement). Elle commence ​ses études au Cours complémentaire ​de Saint-Denis ​et les poursuit au collège de Pantin, collège dans lequel les langues anciennes ne sont pas enseignées (raison pour laquelle elle préparera l’agrégation de lettres modernes et non de lettres classiques). Dans ce collège, l’enseignante d’histoire Marguerite Drevon, à laquelle Jeannine Guichardet dédie sa thèse, la marque fortement et influencera ses recherches à venir sur les entrelacs de l’histoire et de la littérature. Elle étudie ensuite un an au lycée Jules Ferry en 1949-1950 pour préparer le concours d’entrée à l’École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud.
  
 ==== a. Diplômes ==== ==== a. Diplômes ====
  
-Elle obtient le Baccalauréat Philo-Lettres en juillet 1949 ; le Certificat d’Études Littéraires Générales en juin 1951 ; et le Certificat d’Études Supérieures de Psycho-Pédagogie en novembre 1952. Elle obtient la Licence de Lettres modernes en juin 1960 et le Diplôme d’Études Supérieures en Juin 1961 (mention Bien). Elle est ensuite reçue au CAPES de Lettres modernes (1961) puis à l’agrégation de Lettres modernes (1962). ​+Elle obtient le Baccalauréat Philo-Lettres en juillet 1949 ; le Certificat d’Études Littéraires Générales en juin 1951 ; et le Certificat d’Études Supérieures de Psycho-Pédagogie en novembre 1952. Elle obtient la Licence de Lettres modernes en juin 1960 et le Diplôme d’Études Supérieures en Juin 1961. Elle est ensuite reçue au CAPES de Lettres modernes (1961) puis à l’agrégation de Lettres modernes (1962). ​
  
 ==== b. L’enseignement dans le primaire et le secondaire ==== ==== b. L’enseignement dans le primaire et le secondaire ====
  
-Issue d’une famille modeste, Jeannine Guichardet travaille très tôt. Elle mène ainsi de front ses études dans le supérieur et son enseignement dans le primaire et le secondaire. ​Elle assure en effet les fonctions d’élève-maîtresse ​à l’École Normale d’institutrices de Paris de 1950 à 1952. De 1952 à 1953, elle est institutrice à Bagnolet. Elle est ensuite institutrice à l’École Annexe de l’École Normale (1953-1957). De 1957 à 1959, elle est professeur de Cours complémentaire à Paris (successivement rue Jouffroy et rue Tandou). Elle est détachée à l’IPES de Paris (à la Sorbonne) pendant l’année scolaire 1959-1960. Elle est ensuite professeur stagiaire au CPR (1960-1961),​ puis en sursis d’intégration pour préparer l’agrégation (bourse d’agrégation – 1961-1962). ​Elle enseigne alors en tant que professeur ​agrégée au lycée mixte de Meaux (1962-1963) puis au lycée Paul Valéry à Paris (1963-1967).+Issue d’une famille modeste, Jeannine Guichardet travaille très tôt. Elle mène ainsi de front ses études dans le supérieur et son enseignement dans le primaire et le secondaire. ​En 1950 elle entre sur concours ​à l’École Normale d’institutrices de Paris en formation professionnelle. Elle en sort en 1952. De 1952 à 1953, elle est institutrice à Bagnolet. Elle est ensuite institutrice à l’École Annexe de l’École Normale (1953-1957). De 1957 à 1959, elle est professeur de Cours complémentaire à Paris (successivement rue Jouffroy et rue Tandou). Elle est détachée à l’IPES de Paris (à la Sorbonne) pendant l’année scolaire 1959-1960. Elle est ensuite professeur stagiaire au CPR (1960-1961),​ puis en sursis d’intégration pour préparer l’agrégation (bourse d’agrégation – 1961-1962). ​Professeur ​agrégée, elle est nommée ​au lycée mixte de Meaux (1962-1963) puis au lycée Paul Valéry à Paris (1963-1967). 
  
 ==== c. - Vie privée ==== ==== c. - Vie privée ====
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 === - Enseignement === === - Enseignement ===
  
-Jeannine Guichardet est d’abord assistante à la Sorbonne (1967-1970) puis à Paris III, à l’UER de Littérature française (1970-1973). Elle assure ensuite, dans cette même UER, les fonctions de Maître-assistante de 1973 à 1987. Elle est alors Professeur (deuxième classe) ​à Paris III (1987-1990) puis Professeur ​émérite. +Jeannine Guichardet est d’abord assistante à la Sorbonne (1967-1970) puis à Paris III, à l’UER de Littérature française (1970-1973). Elle assure ensuite, ​successivement ​dans cette même UER, les fonctions de Maître assistante, puis de Maître de conférences,​ entre 1973 et 1987. Elle accède en 1987 au rang de Professeure,​ toujours ​à Paris III, dont elle est à présent Professeure ​émérite. ​ 
-Elle dirige des Maîtrises et anime des séminaires de Maîtrise et DEA. Elle assure la préparation au CAPES de Lettres modernes (avec des cours allant du XVIe au XXe siècle) pendant quatorze ans. Elle enseigne également en première et troisième années et dans des UE libres. Elle donne notamment des cours sur les relations entre les Arts et la Littérature aux XIXe et XXe siècles. Elle est en outre invitée à enseigner à l’étranger,​ en particulier en Pologne et en Espagne (où elle donne des cours comme « L’Espagne dans la Littérature romantique »).+ 
 +Elle dirige des Maîtrises et anime des séminaires de Maîtrise et DEA. Elle assure la préparation au CAPES de Lettres modernes (avec des cours allant du XVIe au XXe siècle) pendant quatorze ans. Elle enseigne également en première et troisième années et dans des UE libres. Elle donne notamment des cours sur les relations entre les Arts et la Littérature aux XIXe et XXe siècles. ​
  
 === - Recherches === === - Recherches ===
  
-Elle devient Docteur d’État le 30 avril 1982, avec la mention Très Honorable, en soutenant une thèse intitulée Balzac archéologue de Paris – devant un jury composé de Madeleine Ambrière, Pierre-Georges Castex (directeur),​ Maurice Ménard et Arlette Michel. ​Sa thèse est couronnée par l’Académie des Sciences morales et politiques. Les éditions critiques serviront ensuite de thèse complémentaire. Elle écrit de nombreux articles et travaille ​à la nouvelle édition de La Comédie humaine dans la collection de la Pléiade. Elle participe à de nombreux colloques, séminairescentres de recherches divers (voir ci-dessous).+Elle devient Docteur d’État le 30 avril 1982, avec la mention Très Honorable, à l’unanimité du jury, en soutenant une thèse intitulée ​//Balzac archéologue de Paris// – devant un jury composé de Madeleine Ambrière, Pierre-Georges Castex (directeur), Pierre Citron, Maurice Ménard et Arlette Michel. ​Cette thèse est couronnée par l’Académie des Sciences morales et politiques. Elle écrit de nombreux articles et collabore ​à la nouvelle édition de //La Comédie humaine// dans la collection de la Pléiade. Elle participe à de nombreux colloques ​en France et à l’étrangerà des séminaires ​variés et à des centres de recherches divers (voir ci-dessous).
  
 ==== b. Autres ==== ==== b. Autres ====
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   * - Paris : imaginaires de la ville   * - Paris : imaginaires de la ville
   * - Photographies en lien avec l’imaginaire de la ville   * - Photographies en lien avec l’imaginaire de la ville
-  * - Rapport ​entre la peinture, les illustration ​et la littérature +  * - Rapports ​entre la peinture, les illustrations diverses ​et la littérature 
-  * - Intérêt personnel actuel – 2016-2018 – :  les rêves nocturnesNerval, ​Pérec, Modiano+  * - Intérêt personnel actuel – 2016-2018 – : les rêves nocturnes ​: G. de Nerval, ​W. BenjaminG. Perec, P. Modiano 
  
 ==== 6. Bibliographie ==== ==== 6. Bibliographie ====
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 === b. Éditions === === b. Éditions ===
  
-  * éd. Honoré ​de Balzac, ​//La Comédie humaine, II, Études de mœurs : Scènes de la vie privée (suite)//, édition publiée ​sous la direction de Pierre-Georges ​Castex ​avec la collaboration ​de Pierre CitronMadeleine Fargeaud, Bernard Gagnebin, Jeannine Guichardet, René Guise, Anne-Marie Meininger, Nicole Mozet, Roger Pierrot, Guy Sagnes, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1976. +Participation à l’édition Pléiade en 12 volumes (1976-1981) de //La Comédie humaine// sous la direction de P-G. Castex ​
-  * - éd. Honoré ​de Balzac, ​//La Comédie humaine, VIII, Études ​de mœurs : Scènes de la vie parisienne (fin), Scènes de la vie politique, Scènes de la vie militaire//,  ​édition publiée sous la direction de Pierre-Georges Castex, avec la collaboration de Suzanne-J. Bérard, Patrick Berthier, Lucienne Frappier-Mazur,​ Jeannine Guichardet, Anne-Marie Meininger, Colin Smethurst, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1977.+  * - édition d’//​Étude ​de femme//tome II, 1976.  
 +  * - édition ​de //L’Envers ​de l’histoire contemporaine//, tome VIII, 1977.  
  
  
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   * - « Un artiste à l’œuvre : Claude Lantier », //in L'​Artiste en représentation//,​ dir. René Démoris, Desjonquères,​ 1993, p. 107-124.   * - « Un artiste à l’œuvre : Claude Lantier », //in L'​Artiste en représentation//,​ dir. René Démoris, Desjonquères,​ 1993, p. 107-124.
   * - « Une étrange gestion du passé : //​L’Envers de l’histoire contemporaine//​ », //in Balzac, Œuvres complètes : Le « Moment » de La Comédie humaine//, dir. Claude Duchet et Isabelle Tournier, Saint-Denis,​ Presses Universitaires de Vincennes, 1993, p. 229-242.   * - « Une étrange gestion du passé : //​L’Envers de l’histoire contemporaine//​ », //in Balzac, Œuvres complètes : Le « Moment » de La Comédie humaine//, dir. Claude Duchet et Isabelle Tournier, Saint-Denis,​ Presses Universitaires de Vincennes, 1993, p. 229-242.
-  * - « Edgar Quinet, Chantre de “La Grèce moderne” », //Cahiers de la Villa Kérylos//, 1994, p. 111-121. ​[[http://​www.persee.fr/​doc/​keryl_1275-6229_1994_act_4_1_905|Article intégral]]+  * - « Edgar Quinet, Chantre de “La Grèce moderne” », //Cahiers de la Villa Kérylos//, 1994, p. 111-121.
   * - « Quelques évocations de 1793 et de ses figures dans //La Comédie humaine// (à partir d’Un épisode sous la Terreur), //in 1793, naixement d'un nou món a l'​ombra de la República//,​ dir. Àngels Santa, Marta Giné, Montserrat Parra, Lleida, Universitat de Lleida, 1995, p. 327-335. ​   * - « Quelques évocations de 1793 et de ses figures dans //La Comédie humaine// (à partir d’Un épisode sous la Terreur), //in 1793, naixement d'un nou món a l'​ombra de la República//,​ dir. Àngels Santa, Marta Giné, Montserrat Parra, Lleida, Universitat de Lleida, 1995, p. 327-335. ​
   * - « Les “Porte- voix” de l'​histoire : étude de quelques personnages archéologiques de //La Comédie humaine// », //in Point de rencontre : Le Roman, Actes du colloque international d'​Oslo//,​ t. I, p. 227-236, dir. Juliette Frolich, Oslo, juin 1995.   * - « Les “Porte- voix” de l'​histoire : étude de quelques personnages archéologiques de //La Comédie humaine// », //in Point de rencontre : Le Roman, Actes du colloque international d'​Oslo//,​ t. I, p. 227-236, dir. Juliette Frolich, Oslo, juin 1995.
   * - « Du bon usage de l’effacement des genres dans l’élaboration d’une “poétique” balzacienne », //Balzac une poétique du roman//, dir. Stéphane Vachon, Saint-Denis,​ Presses universitaires de Vincennes, « Documents », 1996, p. 109-121. [[https://​books.google.fr/​books?​id=2O72HFBG688C&​pg=PA365&​lpg=PA365&​dq=Guichardet+(Jeannine),​+%C2%AB+Penser/​voir+avec+Balzac+:​+le+Paris+d%E2%80%99hier+et+d%E2%80%99aujourd%E2%80%99hui+%C2%BB,&​source=bl&​ots=atI9GHTF_7&​sig=VcO8inGw4KusY3U_EX_wjaDYmIU&​hl=fr&​sa=#​v=onepage&​q=Guichardet%20(Jeannine)%2C%20%C2%AB%20Penser%2Fvoir%20avec%20Balzac%20%3A%20le%20Paris%20d%E2%80%99hier%20et%20d%E2%80%99aujourd%E2%80%99hui%20%C2%BB%2C&​f=false|Article intégral]]   * - « Du bon usage de l’effacement des genres dans l’élaboration d’une “poétique” balzacienne », //Balzac une poétique du roman//, dir. Stéphane Vachon, Saint-Denis,​ Presses universitaires de Vincennes, « Documents », 1996, p. 109-121. [[https://​books.google.fr/​books?​id=2O72HFBG688C&​pg=PA365&​lpg=PA365&​dq=Guichardet+(Jeannine),​+%C2%AB+Penser/​voir+avec+Balzac+:​+le+Paris+d%E2%80%99hier+et+d%E2%80%99aujourd%E2%80%99hui+%C2%BB,&​source=bl&​ots=atI9GHTF_7&​sig=VcO8inGw4KusY3U_EX_wjaDYmIU&​hl=fr&​sa=#​v=onepage&​q=Guichardet%20(Jeannine)%2C%20%C2%AB%20Penser%2Fvoir%20avec%20Balzac%20%3A%20le%20Paris%20d%E2%80%99hier%20et%20d%E2%80%99aujourd%E2%80%99hui%20%C2%BB%2C&​f=false|Article intégral]]
-  * - « “Réserves” : quelques exemples de suspens du texte balzacien à l'aube de //La Comédie humaine// », //​L’Année balzacienne//,​ 1996. Article intégral+  * - « “Réserves” : quelques exemples de suspens du texte balzacien à l'aube de //La Comédie humaine// », //​L’Année balzacienne//,​ 1996. [[https://​books.google.fr/​books?​id=2O72HFBG688C&​pg=PA365&​lpg=PA365&​dq=Guichardet+(Jeannine),​+%C2%AB+Penser/​voir+avec+Balzac+:​+le+Paris+d%E2%80%99hier+et+d%E2%80%99aujourd%E2%80%99hui+%C2%BB,&​source=bl&​ots=atI9GHTF_7&​sig=VcO8inGw4KusY3U_EX_wjaDYmIU&​hl=fr&​sa=#​v=onepage&​q=Guichardet%20(Jeannine)%2C%20%C2%AB%20Penser%2Fvoir%20avec%20Balzac%20%3A%20le%20Paris%20d%E2%80%99hier%20et%20d%E2%80%99aujourd%E2%80%99hui%20%C2%BB%2C&​f=false|Article intégral]]
   * - « Arria Marcella et Gradiva : deux rêves pour un volcan », //in L’Île et le volcan, formes et forces de l’imaginaire,​ Cahiers de Recherche sur l’Imaginaire//,​ n° 25, dir. Jean Burgos, 1996.   * - « Arria Marcella et Gradiva : deux rêves pour un volcan », //in L’Île et le volcan, formes et forces de l’imaginaire,​ Cahiers de Recherche sur l’Imaginaire//,​ n° 25, dir. Jean Burgos, 1996.
   * - « Véra ou la morte au miroir. Une “vanité” fin de siècle », //in Créer avec la mort//, dir. J. M. Hétru, B. Fricker, S. Gaulupeau, Chambéry, Éditions du Pôle, 1996.   * - « Véra ou la morte au miroir. Une “vanité” fin de siècle », //in Créer avec la mort//, dir. J. M. Hétru, B. Fricker, S. Gaulupeau, Chambéry, Éditions du Pôle, 1996.
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   * - « Errance et Folie dans //Adieu// », //in Balzac voyageur : parcours, déplacements,​ mutations//,​ dir. Nicole Mozet et Paule Petitier, Tours, Presses de l’Université de Tours, 2004, p. 137-149.   * - « Errance et Folie dans //Adieu// », //in Balzac voyageur : parcours, déplacements,​ mutations//,​ dir. Nicole Mozet et Paule Petitier, Tours, Presses de l’Université de Tours, 2004, p. 137-149.
   * - « “Là Paris n’est plus, là Paris est encore” : Poétique des zones incertaines de la ville », //in Poétique des lieux//, dir. Pascale Auraix-Jonchière et Alain Montandon, Clermont-Ferrand,​ Presses universitaires Blaise Pascal, 2004.   * - « “Là Paris n’est plus, là Paris est encore” : Poétique des zones incertaines de la ville », //in Poétique des lieux//, dir. Pascale Auraix-Jonchière et Alain Montandon, Clermont-Ferrand,​ Presses universitaires Blaise Pascal, 2004.
-  * - « Châteaux de contes en Balzacie » et  « Un “Château périlleux” : Les Touches dans //​Béatrix//​ d’Honoré de Balzac », //in « Ô saisons, ô châteaux ». Châteaux et littérature,​ des Lumières à l’aube de la modernité (1764-1914)//,​ dir. Pascale Auraix-Jonchière,​ Clermont-Ferrand,​ Presses universitaires Blaise-Pascal - Maison de la recherche, 2004, p. 113-123. Articles intégraux+  * - « Châteaux de contes en Balzacie » et  « Un “Château périlleux” : Les Touches dans //​Béatrix//​ d’Honoré de Balzac », //in « Ô saisons, ô châteaux ». Châteaux et littérature,​ des Lumières à l’aube de la modernité (1764-1914)//,​ dir. Pascale Auraix-Jonchière,​ Clermont-Ferrand,​ Presses universitaires Blaise-Pascal - Maison de la recherche, 2004, p. 113-123. ​[[http://​seebacher.lac.univ-paris-diderot.fr/​repertoire/​Articles%20int%C3%A9graux|Articles intégraux]]
   * - « //Metella// au miroir de //La Femme abandonnée//​ », //in George Sand: Palimpsestes,​ échanges, réécritures//,​ dir. Nigel Harkness et Jacinta Wright, Oxford, P. Lang, 2011, p. 196-210.   * - « //Metella// au miroir de //La Femme abandonnée//​ », //in George Sand: Palimpsestes,​ échanges, réécritures//,​ dir. Nigel Harkness et Jacinta Wright, Oxford, P. Lang, 2011, p. 196-210.
   * - « Attention : une femme peut en cacher une autre. //La Fille aux yeux d’or// au miroir de //La Belle Noiseuse// », //in Genèses du roman. Balzac et Sand. Pour Nicole Mozet//, dir. Lucienne Frappier-Mazur,​ Amsterdam, Rodopi, 2004, p. 71-77.   * - « Attention : une femme peut en cacher une autre. //La Fille aux yeux d’or// au miroir de //La Belle Noiseuse// », //in Genèses du roman. Balzac et Sand. Pour Nicole Mozet//, dir. Lucienne Frappier-Mazur,​ Amsterdam, Rodopi, 2004, p. 71-77.
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